/ 20.12.2021
Une des spécificités de l’a-urba est sa capacité à travailler à de multiples échelles et à investir de « nouvelles géographies ». Elle propose un dépassement des limites institutionnelles classiques, la mise en place de dialogues inter-territoriaux et la coordination des politiques publiques portées par différents acteurs de l’aménagement. L’objectif est de mieux comprendre les relations existantes entre territoires au-delà des découpages administratifs, les flux, les liens qui sont tissés par les déplacements quotidiens, par les réseaux d’entreprises, par le monde de la recherche. Les « grands territoires » peuvent être ceux que l’agence avait relativement peu investis jusqu’ici comme la Nouvelle-Aquitaine, la communauté d’agglomération du Libournais ou Angoulême. Ce sont aussi des aires géographiques qui comprennent la métropole mais qui dépassent ce cadre car les enjeux de la mise en débat interterritorial sont essentiels : c’est le cas par exemple du travail mené pour l’InterSCoT girondin ou pour la charte des paysages du SCoT de l’aire métropolitaine bordelaise.
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Publié en 2016, l’atlas de l’espace métropolitain décrit les relations que Bordeaux tisse avec son entourage en analysant les flux qui traversent le territoire. Retour sur quelques sujets traités en animation.
édité par Mollat