/ 2025
Pour inscrire les Zones d’Activités Économiques dans la dynamique de la démarche Zéro Artificialisation Nette, il faut désormais repenser leur modèle d’aménagement et faire évoluer les trajectoires des ZAE existantes.
L’a-urba s’est emparé de ce sujet pour imaginer comment requalifier ces espaces au travers une collection de documents :
Dans une posture de sobriété avant tout, le sujet central ici est celui de l’optimisation foncière, en se posant la question : pour chaque mètre carré d’une ZAE, quelle pourrait être la destination des sols la plus pertinente ? Il s’agit non plus d’imaginer les surfaces de foncier économique seulement comme une ressource d’emplois et de bénéfices économiques mais de repenser ces zones par leurs usages (enjeux économiques et sociaux) et par les fonctions de leurs sols (enjeux environnementaux).
Au-delà de ces objectifs vertueux, il devient nécessaire de s’organiser collectivement et d’inventer de nouvelles façon de faires. Ceci nécessite une approche intégrée qui se dessine d’abord par une ambition stratégique de projet de territoire, portée par diverses politiques publiques des collectivités. Et cela se met en œuvre dans une démarche au long cours pour embarquer les acteurs économiques locaux et en faire de véritables coproducteurs de ces nouveaux morceaux de ville. Cette optique à échelle large et cette approche multi-acteurs sont les conditions sine qua non pour intégrer les ZAE comme parties prenantes de la transition écologique des territoires , tout autant qu’outils de développement territorial.
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