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/ 2007

/ Co-écrit avec CUB

Les effets du TGV sur l’aménagement des quartiers de gare

Quelques expériences d’agglomérations françaises

Dans le cadre de son programme partenarial 2007, la Ville de Bordeaux a demandé, dans le cadre d’une action mutualisée avec la Communauté urbaine, à l’Agence d’Urbanisme de faire un état de l’expérience d’un certain nombre de villes françaises ayant, depuis 1981, cherché à bénéficier de l’effet de la grande vitesse et réaménagé les quartiers de gare sur un périmètre plus ou moins étendu. Quelles stratégies ont été mises en œuvre dans ces villes, au regard de quels objectifs, et quels enseignements en tirer pour la cas bordelais ?

Ce document d’étape constitue une restitution des exemples recensés les plus significatifs, en les rapportant à la situation bordelaise. Si la diversité des approches et des méthodes de travail est réelle, on en retire cependant un certain nombre d’invariants qui pourront guider la démarche à venir.

Introduction

Avec la perspective de la mise en place de la grande vitesse ferroviaire à l’horizon 2016 qui situera Bordeaux à 2 heures de Paris, l’agglomération Bordelaise se met en situation de bénéficier d’une nouvelle accessibilité.

Celle-ci sera d’autant plus avérée que les hypothèses et les échéanciers se précisent tant pour la ligne Bordeaux – Espagne (Bordeaux – Bilbao 1h30 horizon 2020), que vers Toulouse (Bordeaux – Toulouse 1h, 2018 ?).

Cette nouvelle donne va créer une attractivité renforcée pour l’agglomération bordelaise et à une échelle plus locale pour le quartier Bègles – St Jean Belcier. Ce dernier, l’un des trois grands sites stratégiques de l’agglomération, constitue une porte d’entrée d’agglomération et le support pour la construction d’un projet d’envergure global et cohérent.

Dans ce contexte, la Ville de Bordeaux souhaite disposer d’un porter à connaissance des dynamiques urbaines constatées avant et après l’arrivée du TGV parmi une sélection de quartiers de gare en France. En prenant exemple sur les expériences de ces agglomérations, il s’agit d’analyser les actions mises en œuvre et d’approcher les clés de réussite ou les raisons d’échec du réaménagement du quartier de gare. Ce porter à connaissance permettra de tirer les enseignements nécessaires, d’anticiper les aménagements urbains et les stratégies à privilégier pour la gare St Jean.

Les agglomérations françaises examinées sont Grenoble (TGV depuis 1983), Nantes (TGV depuis 1989), Lille (TGV depuis 1993), Lyon (TGV depuis 1981), Metz (TGV depuis juin 2007), Le Mans (TGV depuis 1989).

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